Séance 2

Rêve nocturne : phénomène caractéristique de la phase de sommeil, c'est un décrochement de la conscience qui lache sa prise sur le réelle et qui peut s'abandonner à des divagations. Notre quotidien et nos désir influence nos rêves

Rêve diurne : projection idéalisé de la réalité que nous construisons à l'état de veille. C'est une construction de l'imagination pour échapper aux contraintes du réel.

Le songe : employé dans l'antiquité, il avait une valeur prémonitoire, il était considéré comme un message des dieux. C'était donc une révélation prophétique par laquelle l'homme pouvait connaître son destin. Artémidore d'Ephèse est celui qui l'a travaillé le premier dans l'ouvrage « La clé des songes » : premier ouvrage d'interprétation des rêve, l'idée que dans les rêve il y des symbole à décrypter. Textes : Virgile L'Eneide et La bible, Le songe de Pharaon

Rêverie : elle fait partie du rêve diurne, elle a longtemps été dénigré pour son manque de vigeur, il faut attendre le 18ème pour que ce mot prenne un sens plus positif grace à JJ Rousseau dans l'ouvrage « les rêveries du promeneur solitaire ». Les Philosophe des lumière remet en cause la valeur prémonitoire des songes avec la science et la raison. Petit à petit on va abandonner le mot songe pour le remplacer par le mot rêve avec une conception plus rationnel et médicale. 19Ème siècle Freud : avènement de la psychanalyse qui va considérer le rêve comme une voie royale pour accèder à l'inconscient des hommes. Les rêves ne renseigne plus sur l'avenir mais sur le passé qu'on cherche à enfouir. Il révèle la personnalité profonde du sujet et sont un moyen d'exprimer des frustration que notre conscience ne perçoit pas.