Cour d’appel de lyon du 17 octobre 2011.
Le tribunal de grande instance de Lyon débouta au motif car le demandeur ne démontrait pas cette intention de poursuivre la relation, car elle a mis fin à sa liaison peu de temps avant le mariage. L’appel est interjeté par le demandeur et la cour d’appel de Lyon confirma le jugement de première instance. En effet, cette dernière précise que «l’éloignement géographique du collègue rendait impossible l’existence de relation entre l’épouse et ce dernier...». C’est pourquoi, selon la cour d’appel, le demandeur ne démontrait pas l’intention se son épouse de poursuivre la relation au lendemain de l’union sur un plan affectif et physique. En effet, selon les juges du second degrés, les attestation produites montrent plutôt une épouse qui veut respecter les obligations du mariage et mettre fin à son aventure. De plus, la cour d’appel ajoute que « le fait pour la future épouse d'avoir pensé à un autre homme le jour de l'union ne signifie pas qu'elle n'entendait pas s'engager pleinement dans