Courbet
Courbet au chien noir est un auoportrait réaliser par Gustave Courbet de 1842 à 1844. Il mesure 4 mètre 63 sur 5mètre 55, exposé au musée des Beaux-Art et il a remporté un prix au salon de 1844. C’est l’époque au Coubert arrive tout juste à Paris et débute sa vie d’artiste et réalise une série d’autoportrait le mettant en scène travesti et souvent accompagnné d’un chien come dans cette œuvre ci. C’est aussi le début de la photographie ce qui oblige presque les artistes à ne plus representé les choses d’une certaine manière mais à élagir le but de la peinture.
C’est une ouvre sombre possèdant un paysage de fond très peu détaillé. Au centre de la toile ce trouve personnage, qui n’est que Courbet lui-même , vetu d’un tenue citadine de bourgois pour la campagne, et un chien noir. Le personnage a un regard hautain, méprisant, et il est peint de trois quart. La ressemble de celui-ci avec son chien est frapante : c’est une symbiose. Dans la partie supèrieure de la toile, il y a un effet de matière, la peinture est écrasé, on ressent une forte gestualité, et la peinture est frottée. La facture est prècise et douce sur le visage du perssagne en contraste direct avec « non finito », comme les paysans revenant de la foire : on voit l’importance donnée aux paysages. Coubert tient une pipe dans sa main et on peut aussi voir de nombreux objets apparaissant sur le tableau : une canne sur le côté gauche de l’œuvre, un livre, un chapeau… Le chien fait l’effet d’une masse noir. En arrière plan, un miniscule village s’aperçois. La tenue du personnage contraste avec le paysage. La lumière sur son visage rappelle Les amants dans la campagne. On peut apercevoir des ligne de force qui vont de sa cane à son chapeau pour redescendre vers son chien pour formé ainsi un triangle.
On peut d’imaginer par l’ombre en contraste avec le reste du paysage que le personnage est assis sous un arbre pour peindre, pour l’ombre ou pour se reposer. La contre plongé ainsi que