Courrier de relance
Je reçois ce jour copie d’un courrier de rappel d’avis d’échéance concernant le loyer de ma fille ; votre courrier attire toute mon attention et m’interpelle pour deux raisons :
D’une part, fort de constater votre réactivité, vous n’omettez pas d’ajouter au montant du loyer une majoration de 12 euros comme stipulée sur le bail, cependant je vous rappelle que cette clause est abusive et que le droit applicable étant de droit public, il l’emporte sur la clause et celle ci peut être donc annulée ; en effet la loi du 6 juillet 1989 est réputée, dans son intégralité, d’ordre public et non de droit, au sens où l’entend l’article 6 du code civil qui édicte que l’on peut, par des conventions contraires, déroger à ce qui concerne « l’ordre public et les bonnes mœurs ».
Cette clause d’intérêts pénalisants peut donc être réputée non écrite.
D’autre part, vous semblez rester sourd et passif devant les problèmes récurrents que je qualifie d’insalubrité que subit ma fille au sein du logement dont vous avez la gestion et ce malgré plusieurs démarches de sa part.
Je vous rappelle que l’appartement qu’elle occupe est excessivement humide résultant d’un manque de ventilation, il n’est pas rare que des gouttes d’eau apparaissent et que celles-ci coulent le long des murs et les prises de courant.
Que régulièrement elle doit faire face à des canalisations bouchées et de ce fait vivre dans une atmosphère nauséabonde.
Pire encore, depuis plusieurs mois, voire presque une année, elle cohabite avec des rongeurs, vraisemblablement des rats qui ont élus domicile dans le bâtiment, malgré ses plaintes et vos promesses d’intervention rien n’a été fait à ce jour.
Je pense qu’il est inutile de vous rappeler les risques encourus lorsque que l’on cohabite avec ce type de rongeurs.
J’ajoute brièvement d’autres petits soucis, pas bien importants mais qui ont malgré tout tendance à se chroniciser :
Pas de TV lorsqu’il pleut – réception d’images nulles
Pas