S.E.S (le 03/02/09) b) Inégalités, moteur de la croissance (voir Doc 20/21 P198) L’enrichissement dans les sociétés démocratiques a été permis par la recherche individuelle du profit (en lien avec le mérite) selon la conception libérale. Dans cette conception, rechercher à tout prix l’égalité serait freiner les incitations des plus productifs et par là empêcher l’enrichissent collectif. Une redistribution trop généralisé serait une desincitation au travail et donc un frein à la croissance. L’inégalité est donc considérée chez les libéraux comme une condition de l’efficacité de l’économie. Von Hayek va plus loin car pour lui la notion de justice sociale n’a pas de sens car elle justifie à ses yeux les excès de l’interventionnisme étatique. c) Inégalités, frein à la croissance (voir Doc 12 et 13 P194 Q3) Pour les sociaux démocrates l’existence d’inégalité trop élevées limite la croissance. Les compétences économiques et sociales des individus exclut par le marché sont une perte d’efficacité collective. Pour eux rien ne prouve que les inégalités soient un facteur de croissance. Ils avancent un exemple, pendant les 30 glorieuses les inégalités ont baissés. 3e argument, l’égalité n’est pas une limite à la liberté individuelles au contraire ils s’interrogent de quelles libertés disposent les individus excluent de la société. Pour eux c’est l’égalité qui apporterait la liberté. Le mérite est un principe ambigu. Comment attribuer à chacun son mérite dans une société ou il n’y a pas d’égalité des chances. Pour les néokeynésiens, il faut réduire les inégalités verticale et horizontale pour stimuler la demande et donc la croissance et maintenir la cohésion sociale. En guise de conclusion : faire le point Répondre aux Q P199. 1) V 2) V 3) V 4) V 5) F 6) V 7) F 8) V 9) F 10) V 2)

Chapitre 5 : Conflits et mobilisation sociale Sensibilisation : doc(s) photos P 208 P209

Notions à savoir : Classes sociales : Syndicats : Groupes de pressions : Conflits : Mobilisation :