Cours
La richesse des Nations et le bien-être de l'individu ne sont pas forcement incompatibles . Le Capitalisme n'est certes pas la panacée mais depuis l'écroulement du socialisme nous n'avons plus le choix, si tant est que nous ne l'ayons jamais eu.
Il nous faut vivre avec le capitalisme. Donc tenter de le rendre plus acceptable et plus juste, moin gaspilleur et moins pollueur.
Dans un premier temps, il articule les fondamentaux que sont le travail ,qui produit et génère le produit intèrieur brut, souligne le role fondamental du capital qui ceci dit " rapporte mais ne crée rien".
A la production suit l'analyse de la répartition du produit et du revenu ( par le biais des salaires et des revenus sociaux ).
Si l'Auteur constate que "nous avons un des systèmes de protection sociale les plus perfectionné du monde, la répartition des revenus reste assez inégalitaire. La consommation des ménages a suivi la croissance indéniable des revenus.
La population active a vu ses structures profondément modifiés en volume, en évolution des secteurs, des professions, et pour la première fois apparait la notion de "flexibilité".
La structure des entreprises a été entièrement modifiée. La société holding devenant le plus beau fleuron du capitalisme flamboyant, la concentration des entreprises s'accélère, ainsi 0,2% de celles-ci, représenteront 50% de la valeur ajoutée et plus du tiers de la masse salariale.
N'oublions pas l'intervention publique qui représente 45% du PIB, cotisations sociales et impôts inclus. Ici se pose le problème des prélèvements obligatoires, sont-ils trop lourds ?
le décor est planté, mais face au marché que faire, l'auteur signe sa conception du role de l'etat " pour toutes ces raisons, que l' Etat maigrisse n'est pas une mauvaise chose. Mais à condition que