Coût du protectionnisme européen
En 2007, la crise financière et bancaire a joué un rôle dans l'évolution du protectionnisme européen. Ainsi, suite à celle-ci, de nombreuses nations se sont manifestées afin d'instaurer des mesures protectionnistes à l'échelle européenne pensant que ces mesures protègeraient certains secteurs industriels de la concurrence extérieure et limiteraient les délocalisations. La concurrence n'a cessé d'augmenter depuis la mondialisation des échanges. En effet, les pays développés sont menacés par les pays émergents. Il faut donc protéger les entreprises nationales à forts coûts et limiter les délocalisations vers ces pays à faibles coût salarial.
Le libre-échange encourage la liberté du commerce entre les pays et la suppression des barrieres à l'échange. Le protectionnisme agit de façon contraire en proposant des mesures afin d'empécher ou limiter la concurrence étrangère.
Al'heure actuelle, deux observations sont à souligner. En effet, malgré la "globalisation" qui entoure nos économies, de nombreuses protections résistent; d'autre part le coût de celles-ci est bien trop élevé.
Certains Etats vont appliquer des droits de douanes élevés afin de limiter la concurrence étrangère voire de l'empécher et donc privilégier l'exportation à l'importation. Ces mesures (appelées barrières tarifaires) auront pour but d'augmenter les ressources de ces pays mais surtout de diminuer la demande des produits importés. Cependant,depuis les négociations de l'OMC et plusieurs "rounds" du GATT, cette tendance tend à diminuer.
Des barrières non tarifaires sont également utilisées pour la protection de l'économie. Les pays vont instaurer de rudes et précises règlementations; dans le domaine sanitaire, la sécurité est souvent l'argument donné.
Ils existent d'autres mesures protectionnistes comme les quotas et les contingements appliquées par certains Etats malgré un refus de l'OMC.
A travers toutes ces formes (droits de douanes, normes