Crise Cuba
Cuba est indépendante depuis
Le 31 décembre 1958 Battista s’enfuit
1. La crise : le monde au bord du gouffre
En octobre 60, les USA inquiet de voir s’implanter un régime marxiste s’implanter à 150 km de la Floride, arrête toute importation dans l’espoir d’asphyxier le régime castriste. Fidel Castro demande alors la protection de l’union soviétique. Les services américains découvrent que les soviétiques ont installé à Cuba des rampes de lancement de fusée nucléaire, susceptible d’atteindre le territoire américain. Le 22 octobre
Finalement le 26 octobre Khrouchtchev accepte de démonter ses installations contre le démantèlement d’installation nucléaire américaine à la frontière turco-soviétique. L’engagement des Etats Unis de ne pas envahir Cuba.
Le recul soviétique n’est pas le seul enseignement à tirer de cet épisode. La crise de Cuba souligne les enjeux territoriaux et stratégiques, sa dimension mondiale.
Le dialogue des deux supers puissances est possible : la conscience de leur responsabilité les incite à rationaliser leur rapport.
B. Berlin, de l’Ostopolitik à la chute du mur. (128-129)
7. L’accord quadripartique sur Berlin du 3 septembre 1971 signé entre les 4 puissances de la ville revoit une libéralisation de la circulation entre Berlin Ouest et la RFA
8. Chancelier de la RFA Brandt explique dans une allocution télévisée le 3 septembre, que cet accord est historique parce qu’il apaise les tensions possible entre les deux blocs au niveau du Berlin et contribue.
Le maintien de la présence des alliés occidentaux à Berlin Ouest comme un gage de sureté. Pourtant l’accord est envisagé que comme une étape vers une réelle libéralisation des frontières entre RFA et RDA dont une réunification allemande.
L’accord quadripartique permet de confier.
9. L’accord quatripartique de 71 participe de l’Ostpolitik entre la RFA et la RDA. Cet accord précède la reconnaissance officielle mutuelle des deux Allemagne par le traité fondamental