Crise de 1973
*vers la fin de « l’exception française ? » I Une France en position_très_trop ?_moyenne dans la crise : 1) une stagnation longue et insidieuse de taux de croissance. Mais une France en position très moyenne dans la crise, menacée de décrochage. a) ralentissement peu marqué au départ -pas de récession véritable durant les 70’s.une croissance un peu ralentie de 74 à 80 ( 2,6%). -fort taux de croissance/ PDEM. Pas de retard pris au départ de la crise ! b) Des 80 et 90 ‘s plus médiocres, ds une Europe zone à croissance faible au niveau mondial >pessimisme. *Les effets de 20ans de croissance molle n’ont pu ê*tre effacés par les résultats de la fin des 90’s. -80 ‘s : *79-85 : 1,2% contre 2,2% pays de l’OCDE. A cette période que la fr. fait résultats nettement inférieurs à ceux de ses concurrents ! *85-90 : 3,2% fr. contre 3,3% OCDE. -90’s : ds la moyenne d’une Europe à croissance faible. 90-95 : 1% fr. Déflation avec préparation de l’euro. DE 2000 à2004 pour le PIB : + 1,5% FR. seuls RU et USA la dépassent avc 2,5%. Mais une croissance différente / PDEM. *USA + 73% pr PNB, + 92% conso. Privée, + 120% investissement productif privé, mais 44,5% pr croissance conso de l’état. Les USA cigales consomment et créent une dynamique qui stimule l’investissement prod. > préparent l’avenir > peu de chômage. *UE : 69% PNB, 73% conso, 66% invest., 38% état. FR : 66%PNB , 71% conso, 27% invest. 79,5% Etat . =un modèle européen en plus poussé au niveau des dépenses publiques qui ne prépare peut ê*tre pas assez l’avenir et sacrifie davantage sa jeunesse et une partie de la pop. ! pas de climat favorable aux invest.( plus médiocre des PDEM) > chômage ? Compensé par les exportations et les dépenses publiques, moteurs de la croissance qui évitent à la France d’être l’homme