Critique de la societe candide
On peut appeler ce lieu « Le Paradis Perdu », car c’est en quelque sorte un point de référence. Ce conte est initiatique, Candide va se forger un opinion, une certaine philosophie au cours de l’histoire.
« Il y avait » rappelle la formule communément utilisé pour les début de conte : « Il était une fois ». On est dans le château du Baron, on va s’apercevoir rapidement d’une chose : celle de la mise en valeur du baron. D’une part par le titre dont il est qualifie : « Monsieur le Baron », puis Voltaire va utiliser des « Noms-portraits », les personnages peuvent ainsi êtres considérés comme des marionnettes.
L’interprétation direct que l’on peut donner, et que voltaire à voulu faire passer, est la « Critique de la noblesse ».
« Candide » est décrit comme un jeune garçon, avec l’emploi du superlatif, il est innocent est doux. La Candeur signifie : l’innocence.
La phrase : « Sa physionomie annonçait son âme » signifie que lorsqu’on le regarde on à l’impression de quelqu’un d’innocent, mais il l’est réellement. C’est un personnage honnête sous l’empire de son être. On ne sait pas si Candide s’appelle ainsi, à cause du fait qu’il soit innocent ; ou si il est innocent à cause du fait qu’il s’appelle Candide. En réalité Voltaire ne sait pas si Candide est le prénom, ou le surnom du héros ! La critique de la noblesse va de nouveau réapparaître, avec comme base le fait que cette catégorie sociale, n’a d’importance qu’au « superficiel », qu’au « apparence ». Les « nobles » sont attachés à « leur arbre généalogique » pour prouver qu’ils ont une filiation avec tel ou tel personne.
Le ridicule est aussi bien présent au sein de ce texte : « que 71 générations de descendances », Candide n’a pu se marier avec une femme sous prétexte qu’on était dans l’incapacité de prouver qu’il avait plus de « 71 quartiers » de descendances dans son arbre généalogique : c’est très