Poitras, Anique, La chute du corbeau, Montréal, Titan, 2003, 213 p

Un passé douloureux

Dans la chute du corbeau noir, mandoline, une ancienne toxicomane, alcoolique et danseuse nue est presque heureuse, au début, de ne pas avoir touché à la drogue et l’alcool depuis un moment, comme elle l’indique à la page 11 : « tout était presque beau ». Jusqu’au jour où elle va rencontrer Nicolas, un journaliste dont elle tombe amoureuse. Mandoline va être déstabilisée, elle aura du mal à être elle-même et revivra tout son affreux passé. Ce texte présentera mon appréciation personnelle sur le roman et pourquoi je ne l’ai pas apprécié en deux parties. Dans la première j’aborderai des personnages du roman et dans la deuxième du sujet.

La chute du corbeau noir, est un roman assez réaliste et au personnage ayant des apparences réelles. Une des raisons pourquoi je n’ai apprécié ce roman c’est car je ne me suis pas vraiment identifié aux personnages. Je n’arrive pas à compatir pour Mandoline et pour sa tristesse, « 18 ans de drames et mélodrames » (p11). Peut être que si le personnage principal était masculin, je m’y assimilerai plus. Je ne comprends pas non plus Nicolas, comment peut-il tomber amoureux d’une ancienne danseuse nue, alcoolique et toxicomane, même si il le dit pourquoi à la page . Je n’arrive pas à croire que Sarah veuille bien revoir Mandoline après que celle-ci ai été méchante avec elle et après autant de temps.

L’alcool, la drogue et la prostitution font tous partit du sujet de la chute du corbeau, je n’apprécie pas ces sujet pour plusieurs raisons. C’es sujets sont immoral, il ne M’enseigne rien de nouveau, le malheur de Mandoline M’est indifférent et je n’ai pas envie de m’imaginer dans la même situation qu’elle. De plus, la vulnérabilité de Mandoline et sa tristesse me fait pitié, ce qui n’est pas vraiment un bon sentiment lorsque l’on lit un roman.

Avec des personnages qui m’ont déplus et un sujet qui me rend dépressif, La chute du