Critique du Roman; le Facteur Émotif
Résumé
Dans la ville de Montréal, on retrouva un jeune facteur pas comme les autres, Bilodo, qui prenait plaisir à lire des lettres qu'il devait distribuer. Un jour, il lut une lettre destinant à un homme sur la rue des Hêtres et il tomba en amour avec l'écrivaine au nom de Ségolène. En effet, il était surtout intrigué par le type d'écriture poétique que les deux personnes utilisaient pour communiquer entre eux; les haïkus, une forme de poèsie japonaise.
Un jour, lors d'un matin nuageux, Bilodo et son ami Robert happent par accident Grandpré lorsque celui-ci voulait leur donner une lettre à livrer. L'homme fut décédé, car il perdit tout son sang. Plus tard, Bilodo commencait à penser à Ségolène qui serait probablement inquiète de ne plus recevoir de nouvelles de Grandpré. Bilodo était surtout troublé du fait qu'il ne recevrait plus de lettre de la chère Ségolène. Bilodo prenait donc la place de Grandpré. Il essayait d'écrire des haïkus comme ceux de Grandpré, mais rien n'était bon. Les jours passèrent, Bilodo décida d'agir exactement comme le poète. Par exemple, il va s'asseoir à la place de Grandpré au Madelinot, il lit ses haïkus et va même déménager dans son appartement. Il passa son temps à lire les dixaines d'haïkus que Grandpré avait composé et écouta même sa musique japonaise. Lors d'un rêve, Bilodo voit Grandpré lui montrant où il place un kimono rouge. En effet, Bilodo trouva ce kimono rouge le matin. Il était dans la peau de Grandpré, donc il écrivait comme le poète. Les lettres entre Ségolène et Bilodo ne cessent pas. Son ami Robert était quelqu'un qui