1. Il faut savoir que ce roman présente une critique virulente qui met a nu les travers des riches.

a) D’abord les riches n’ont pas conscience de ce qu’il reflètent de négatif. Effectivement, Rénée et Paloma sont confronté quotidiennement a leurs défauts. Dés qu’on leur adresse la parole,on constate un fort manque de culture et de connaissance intellectuel. Néanmoins, il se montre plus cultivé que personne comme on peut le voir lorsque Paloma nous raconte son altercation avec l’ami de son père au sujet du jeu de go (PP7). Aussi, ce sont ces mêmes riches qui prennent de haut la concierge (p35) « il me croit incapable de telles subtilités syntaxiques et ne les emploie que par goût ... que vous puissiez les comprendre », alors que très intelligente et amoureuse de la langue française elle ne supporte pas les mauvaises tournures du langage faites ici par Pierre Arthens mais de manière général par les riches. Ainsi quand Sabine Pallières fait mauvais usage de la virgule (p.130 à 133) Mme Michel pense qu’elle « est inexcusable » car « aux riches le devoir du Beau. Sinon, ils meritent de mourir ». En outre, face a des riches si peu instruit Mme Michel a son secret bien garder car même lorsqu’elle mentionne par erreur l’Idéologie Allemande (p.96) aucun n’est interpellé « s ‘il avait été moitié aussi intelligent qu’une huître ». De plus, dans la famille Josse on a d’une part la mère dont Paloma fait la critique psychologique du fait de son comportements avec ces plantes verts (PP4) et d’autre part Colombe, la sœur, qui s’habille comme une pauvre pour faire mine d’être solidaire comme veut le faire entendre le partie politique au quel elle appartient. Néanmoins, pour Rénée « rien n’est plus méprisable que le mépris des riches pour le désir des pauvres. (p304) Surtout, qu’ici Colombe n’est pas du tout aimable et solidaire du sort de la concierge croyant qu’elle peut arrivé a n’importe qu’elle heure car« la loge des concierge est un sanctuaire protégé qui ne connaît ni le