critique twelve years a slave
Ce film adapté du récit autobiographique du même nom de Salomon Northup. L'histoire ce déroule dans l’Amérique des années 1840. Salomon est un homme noir libre qui vit a New-York. Excellant violoniste il est un jour abordée par deux hommes qui lui propose de faire l’accompagnement musical de leur numéro de cirque. Cependant ceci n'est qu'un prétexte et à la fin de leur tournée ils le font enlever.Il sera ensuite vendu comme esclave en Louisiane et ainsi commencera le début d'un enfer qui durera douze ans avant qu'il ne recouvre sa liberté. Cette histoire présente de nombreux intérêt avec parmi lesquels le fait qu'elle soit réel. Cela permet de davantage accrocher le spectateur tout en mettant des images sur un passé que certains cherchent à oublier. Les acteurs jouent remarquablement bien leur rôle car ils transmettent bien les émotions et le spectateur s'identifie bien au personnage. Les émotions sont extrêmement bien rendues et l'on ressens bien le désespoir ou la joie des personnages lorsqu'elle se manifeste. L'image est de bonne qualité avec une alternance entre les plans larges et les plans rapprocher mettant bien en valeur l'aspect des scènes voulu. L'histoire nous parle encore aujourd'hui car même si l’appellation d’esclavage n'existe plus il y a toujours une forme d'esclavagisme mais qui n'est plus désignée de la même manière.
Une scène parmi d'autre : Juste après son enlèvement Salomon se réveille enchaîné dans une cellule. Peu de temps après arrive deux hommes. Il tente de leurs expliquer qu'il est un homme libre mais ses geôliers ne veulent rien entendre. Ils le mettent à genoux et le battent en lui hurlant sa nouvelle identité ainsi qu'en le rabaissant. Ce passage est fort et provoque la colère chez le spectateur car il montre toute la perversité et la cruauté de ses ravisseurs. Ils sont prêts à tout pour le profit.