Cual es tu concepcion del periodismo?
Le journalisme de nos jours est dirigé, comme notre société entière, par l’argent. Ainsi ce que nous montrent les journaux papier ou télé n’est que superficiel, ces pseudo informations sont présentées de façon à attirer le « client », à faire monter l’audimat. La base du vrai journalisme, celle d’apporter les informations, de nous révéler ce qu’on nous cache, de nous ouvrir les yeux, n’est plus défendue que part de rares journalistes.
Depuis quelques années, dans les journaux télévisés, dans les quotidiens, à la radio, les informations que les « journalistes » nous procurent ne sont plus fouillées, abouties. Elles sont traitées en surfaces et de façon à en exposer toute l’émotion qui peut en être extraite. Car l’émotion c’est vendeur, et c’est ce que recherchent les directeurs de presse. Car le but précis est de vendre et non pas d’informer.
D’une certaine manière, j’ai l’impression que la presse n’est plus libre, en effet lors d’importants événements, de nombreuses choses sont cachées, comme si la presse était corrompue, comme si la liberté d’expression ou le droit au savoir était remplacé par le désir de richesse.
Mais heureusement le véritable journalisme n’est pas éteint. En effet, des journaliste tels que ceux travaillant pour le journal en ligne Médiapart, ont permis de faire éclater d’importantes affaires, comme l’affaire Cahuzac en 2012. Ces révélations étaient le résultat d’un travail de recherche, d’investigation et de réflexion, qui ne devrait pas être si occasionnel.
On pourrait donc croire que le journalisme est une forme de pouvoir, car lorsqu’il est montré seulement ce qui est désiré, c’est une forme de manipulation. Cette manipulation peut être parfaitement illustré par cette image :
Les médias peuvent nous montrer des soldats menacent un homme, ou bien l’aidant, il nous montrent donc ceux qu’ils veulent, non pas la vérité.
Mais pour moi, le journalisme n’est