CUI-ZINE, une affaire de cocottes-minute 1 Cas produit par le professeur Brahim ALLALI. De l’immense fenêtre de son luxueux bureau, Saïd Zine, l’air songeur et perplexe, regarde les ouvriers d’expédition s’affairer à charger les dernières caisses d’autocuiseurs dans...

Ce cas présente l’entreprise familiale marocaine Cui-Zine, spécialisée dans la fabrication d’articles de cuisine, en particulier d’autocuiseurs plus connus sous le diminutif Faty. L’entrepriseconnait un véritable succès grâce a la collaboration entre les frères et sœurs Zine s’est bien passé sous le leadership du fondateur et dirigent Hamid Zine.

La famille Zine se trouve avec un grand défide l’entreprise familiale, l’équilibre entre la famille et l’entreprise laquelle n’est pas toujours facile à faire. Les conflits et rivalités ont commence grâce a le limogeage de Ali et l’appelle aSaïd pour devenir le dirigeant-successeur de l’entreprise, faits qui risquent d’être transportes dans l’entreprise. La communication entre les membres est devenu difficile, particulièrement qui a traitaux relations intergénérationnelles. Une gestion adéquate de l’entreprise familiale requise d’une bonne compréhension des éléments qui la caractérisent : le partage de la propriété entre les membres dela famille, la direction sous l’influence de la famille et l’intention de conserver l’entreprise dans la famille. Quand il existe de très bonnes interactions entre eux, tout ira bien et des fruitspositifs seront recueilles.

Cui-Zine ne compte pas avec une structure de gouvernance organise dans chacune des entités. La stratégie du processus de transmission n’a pas été planifie, laquelle estpartie de facteur de succès de l’entreprise. Apres avoir uniquement mise sur le marche local durant 40 ans, Cui-zine a pris la décision de s’ouvrir à l’étranger en exportant ses produits sur les marchessaoudien, sénégalais et gabonais, en tenant comme résultats une amélioration financière de l’entreprise, ou les exportations