I] Première partie

1) Isabelle Queval philosophe du XXIème siècle écrit en 2004 « S’accomplir ou se dépasser » Essai sur le sport contemporain. Sa réflexion porte sur les représentations contemporaines du corps en particulier sur le thème de l’amélioration, sur les significations philosophiques et socio-politiques du sport de haut niveau et sur l’histoire des pratiques corporelles dans l’éducation.
Le sport est un ensemble d'exercices, le plus souvent physiques, se pratiquant sous forme de jeux individuels ou collectifs pouvant donner lieu à des compétitions. Il est conseillé de pratiquer une activité physique et sportive pour les bienfaits de la santé.

D’après Isabelle Queval le dépassement de soi mène à la gloire comme à l’effondrement physique ou psychique. Grâce au sport et notamment à leur performance spectaculaire les sportifs se créent une identité et une notoriété auprès du public. Cette identité est et doit être pour eux sans cesse renouvelée car les sportifs veulent évidemment garder leur titre mais bien souvent ils souhaitent et s’obligent à battre de nouveau record (leur propre record).
Ce qu’il recherche c’est :’le dépassement de soi’.
Le sport dans toute sa splendeur contribue au « Projet et aboutissement de vie, réalisation d’une carrière, d’un rêve, épanouissement… », Il joue un rôle formateur dans le dépassement de soi.
Cependant il ne faut pas confondre performance et démesure car le sport dans son excès nuit au corps humain, comme Isabelle Queval le dit : « ignorer les abîmes qui s’ouvrent dès lors que l’effort verse dans l’excès et la performance dans la démesure ». Il faut un certain équilibre.
Comme le dit un célèbre proverbe « Le mieux est l’ennemi du bien ». Les limites du dépassement de soi sont qu’il n’y a justement plus de limite, plus d’obstacle à la réussite du ‘mieux’ ce qui pousse le sportif à prendre des risques au péril de sa vie. La conscience de ces risques sont connu du sportif et pourtant ne le freine pas.