Culture jeune : définition
Les adeptes s'identifient avec leur culture de jeunesse à travers certains symboles de groupe, comme :
un langage spécifique : voir argot et verlan. des styles de musique spécifiques : voir rock, pop, punk, grunge, metal, rap et electro. un langage corporel : vêtements, bijoux, tatouages... des phénomènes de groupe particuliers : boîtes de nuit, drogue...
Avant 1950: la « jeunesse swing » dans l'Allemagne nazie la jeunesse ouvrière révolutionnaire après la première guerre mondiale (voir aussi nudisme)
Dès 1950: le rock 'n' roll
Dès 1960:
Les Beatniks, le rock britannique et les hippies
Dès 1970:
Le rock, le hard rock. Les débuts d'un mouvement écologique ? Les yuppies ?
Les « soixante-huitards ». Un mouvement de jeunes gauchistes ?
Dès 1980:
Le Punk, le Gothique et le Metal. New wave ? Disco ?
De 1990 à aujourd'hui :
La techno, le rap, le grunge et les skaters
Les milieux subculturels d'immigrés de 2e ou 3e génération dans les banlieues des grandes villes
Surtout en Allemagne une culture de jeunesse violente inspirée par les « valeurs » du nazisme (et exploitée par des néo-nazis)[réf. nécessaire] Culture de jeunesse et générations[modifier]Depuis l'apparition de la culture pop dans les années 1960, de plus en plus de gens, sortis de leur adolescence depuis longtemps, restent fidèles à leur culture de jeunesse. Elle reste vivante dans leur identité et dans leur façon de vivre. Ainsi par exemple les concerts des Rolling Stones mobilisent mêmes des retraités qui jubilent. D'autres groupes sans succès commercial continuent à tourner aussi, motivés par l'expression d'une structure émotionnelle différente de la norme de référence. Des adultes « restés jeunes » de cette manière