Culture G
Première partie : Synthèse.
Le concept de progrès est l’action d’avancer, d’améliorer les choses. On peut dire aussi que c’est un accroissement du savoir faire des hommes et de l’humanité en général.
I. Les hommes, les victimes du progrès
A. L’évolution du travail.
L'exploitation des enfants était courante à cette époque (année 1880), car la pauvreté contraignait certaines familles à faire travailler leurs enfants pour compléter les revenus du foyer, à la place d’être scolarisé. D’après cette imagine (Document 1 – illustration d'un poème de Victor Hugo- 1880), il est clairement visible que Victor Hugo est en contestation avec le travail des enfants c’est à dire la souffrance d’un travail censé revenir à un adulte pas un enfant ou un adolescent.
Le progrès technique a vraiment démarré lors des ouvertures des usines Ford avec des entreprises de plus en plus équipé et mécanisé. Le personnel étaient exploités et forcés à travailler comme des machines par des employeurs plus dur et n’ayant aucun respect pour la vie de leurs employées. On aurait pu croire à de vraies « marionnettes » ne pouvant faire seulement ce qu’on leur demandaient de faire.
Les conditions de travail étaient inhumaines comme le travail à la chaîne dans les usines Ford à Detroit (document 2 : extrait du roman de Louis Ferdinand Céline, « Voyage au bout de la nuit » - 1932), l’absence de vrai cadre de travail : « l'immense édifice », les « secousses », le travail à la chaîne), la division du travail (« chronométrage et parcellisation des tâches » dans le document 4 de Jacques Marseille)
Par conséquence les souffrances du travail imposé étaient impossibles, plus précisément à causes des nuisances sonores « ce bruit de rage énorme [...] par petits coups précipités, infinis, inlassables », « on ne pouvait plus ni se parler ni s'entendre » (document 2) ; des gestes répétitifs, l'ouvrier opérateur devient une machine lui-même « on en devenait