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1058 mots 5 pages
Critique « La Dernière maison sur la gauche » (USA, Wes Craven, 1972)

Suite à la suggestion, que dis-je l’incitation, d’un de mes camarades de la Haute Ecole de rédiger une critique sur ce film signé par un maître du cinéma d’horreur tel que Wes Craven, j’ai d’abord longuement hésité. Deux raisons simples expliquent cette latence.
Primo, tout film que l’on souhaite analyser exige plus d’un visionnage. Secundo, je me dispenserai bien de cette exigence, tant celui-ci m’a été insupportable... Mais ce n’est pas du tout un reproche que je vous écris, là ! Je vais juste ici vous définir le niveau de cette critique : un tricot entre les impressions que j’ai eues, en regardant ce film, et tout ce que j’ai retenu de l’envers du décor, au sens le plus large.
Commençons par un synopsis : Mari Collingwood issue d’une famille de la petite bourgeoisie américaine décide d’inaugurer son passage vers les seize ans en s’organisant une sortie à un concert. Elle est en compagnie de sa meilleure amie, Phyllis Stone, plus festive et plus débrouillarde quant à se trouver une délicieuse bouteille et une bonne herbe. En route vers leur nuit de folie, elles ignorent qu’elles vont croiser le chemin de Krug Stillo, un violeur sanguinaire évadé de prison, non sans l’aide de sa petite bande, à savoir : sa compagne Sadie, son fils Junior, manipulé à doses d’héroïne, et Fred Podowski, l’ami de la famille aimant jouer du couteau...
Que recèle un tel pitch pour que ce long-métrage fasse encore frissonner aujourd’hui ? L’indice est le suivant : Rape and Revenge, dit affectueusement RaV, traduit fidèlement « viol et revanche ». Ce terme n’est ni plus ni moins le sous-genre que Craven nichera dans la catégorie des films d’horreur. Vous me pardonnerez donc ce spoil inévitable, car vous saviez déjà que les rôles entre les bons et les mauvais s’interchangeaient. Certes, mais pas en 1972 !
1972, c’est l’année des derniers soubresauts de la guerre du Viêt-Nam, dernier conflit capturé en images par

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