Danser sa vie
Plus loin j'ai pu découvrir des croquis et annotations de Mary Wigman qui matérialisaient des mouvements dans l'espace avec l'utilisation de plan de la salle, je pensais que tout se transméttait oralement or il semble que la danse soit réglée comme du papier à musique , le danseur aussi a une partition .
Les schemas d'Oscar Schlemmer présentent une subdivision de l'espace dans lequel s'inscrit le danseur.
Kurt Schimdth quant a lui nous offre sa vision de l'expression corporelle avec le ballet mécanique, on peut y lire le rapport de la machine à l'espace, l'articultion des mouvements sacadés en translations, rotations, on a alors une lecture très géométrique de la danse.
J'ai été ravie de retrouver quelques uns de mes artistes qui ont aiguisé ma lecture de l'art et la comphrension de l'architecture tel que le professeur du bahaus qu'était Kandinsky, des livres présentaient des courbes de danse de chez Palucca, la démarche et la construction de la page est très original et signe une recherche permanente d'abstraction que nous connaisons chez Kandinsky , il part d'une photo de danse et évolue vers des croquis pour ne retenir que l'essentiel, chose que nous retrouvons constament dans la pratique architectural ou il faut savoir synthetiser , épurer son propos;on voit alors des figures abstraites et géométriques.Peut-être que cela illustre un tres grand paradoxe qui est que plus on veut être libre plus l'on se doit d'être rigoureux
Mais dans cette exposition l'abstraction s'étendait au dela de l'oeuvre de Kandinsky et au détour d'un couloir le visiteur se livre avec plaisir à la