Analyse des pratique

Présentation de la situation

Sylvie nous a présenté la situation d’une jeune fille de 22 ans infirme moteur et cérébral (IMC) qui travaille dans l’atelier de reprographie. Cette jeune fille est arrivée en janvier, depuis son arrivée elle est insolente, impolie et irritable. Plusieurs rappels à l’ordre ont eu lieu, ainsi qu’une rencontre avec le psychologue du service mais qu’elle ne souhaite pas renouveler. Sylvie ne possède que très peu d’élément sur cette usager hormis celles données par la jeune fille, notamment le sentiment qu’elle a de ne plus exister pour ses parents alors que sa sœur qui, elle, n’a pas d’handicape rentre pour le weekend.

Différentes analyses proposées

Suite à la présentation de Sylvie plusieurs hypothèses ont été présentées la première étant que les IMC ont beaucoup de mal à contrôler leurs émotions, ils ont souvent des réactions qui semblent exagérées, passant rapidement du rire aux larmes, de la tendresse profonde à l’agressivité incontrôlée dû à leur hyper sensibilité.
Ensuite nous avons abordé les problèmes de marginalisation de la jeune fille qui, en effet, au vue de son comportement, tant au sein de l’atelier qu’a l’extérieur, la met à l’écart du groupe dans l’atelier et apparemment, aussi, dans sa vie extérieur.
J’ai ensuite soulevé le sentiment dont elle a fait part a Sylvie, de ne plus exister pour ses parents lors des retours de sa sœur. En effet Lucie a apparemment toujours besoin d’être le centre du monde, de se faire remarquer il est vrai que l'abandonnique redoute par-dessus tout le fait que l’on ne s'occupe plus de lui. Nous avons aussi parler des difficultés de socialisation de Lucie qui serait peut être à travailler en parallèle de son activité professionnel.

Mon analyse et mon positionnement professionnel

dans la deuxième partie j’ai abordé les troubles du comportement des IMC mais ce qui ma le plus interpellé et que l’on a très peu développé au cours du