Question numero 1:
SEXE :
Les approches sexuelles ont longtemps été considérées, à l’époque, comme étant sacré c’est-à-dire consumer l’amour après le mariage ou pour faire un enfant, souvent dû aux moyens de protection peu efficace. De nos jours, selon l’éthique, l’activité sexuelle qui a pour but d’éprouver une sensation d’excitation donc de mener au plaisir peu être considéré d’un bon point de vu lorsque celle-ci est exécutée dans l’égalité. Il est possible d’atteindre cette équilibre lorsque les deux partenaires ont les mêmes degrés de volonté qu’en t’a exécuter l’acte. Le désir est le principal déclencheur et doit être ressentie de la même façon et non seulement pour plaire à l’autre. L’unisson est considéré comme étant acceptable quand chacun recherche à faire ressentir le même plaisir l’un à l’autre.
Au moment ou deux personnes consentantes font l’amour chacun veut plaire à son partenaire en lui procurant une sensation de bien être et recherchant à atteindre le plaisir orgasmique.
On peut dire que l’humain est très souvent à la recherche du plaisir sexuel, lui donnait une importance et une place dans leur vie de façon exagérée les écartant des attributs de la société beaucoup plus nécessaire et bénéfique. La société est obsédée pour l’émancipation du plaisir menant à l’orgasme. Le devoir humain est donc de respecter les principes moraux relié au plaisir ressenti et fait à l’autre.
Cette action peut seulement procurer du plaisir et reste morale lorsque les personnes concernées se respect et se connaissent comme ils sont fait et ne se jugent en aucun cas.
Il est utopique de penser d’appliquer une loi conformant chaque citoyen à s’émanciper sexuel, donc à passer à l’acte. Cela irait à l’encontre de la liberté individuelle où chacun décide s’il veut ressentir un plaisir sexuel et conserver leur virginité à jamais.
Le plaisir sexuel respect impératif catégorique lorsqu’il est posée pas seulement pour soi-même, mais aussi pour l’autre. Ne chercher que son