debut et fin de la personnalite juridique
La personnalité juridique doit être définie comme l'aptitude à devenir titulaire de droit et d'obligation (l'aptitude à être titulaire de droit subjectif). C'est d'ailleurs pour cela qu'on emploi le terme de sujet de droit car la personne humaine doté de la personnalité juridique est titulaire de droit subjectif. On peut ajouter qu'il n'y a aucune différence faite entre les personnes. Même une personne handicapé est considérée comme une personne physique à part entière et est titulaire de droit et d'obligation.
À l'inverse, les animaux ne sont pas des personnes et sont considéré par le droit comme des meubles susceptibles de faire l'objet d'un droit de propriété. On dit qu'ils sont objet de droit puisqu'ils sont susceptibles de faire l'objet d'un droit de propriété. Le droit aujourd'hui comporte un certains nombre de protection juridique envers les animaux.
C'est une protection pénale. Dans le livre 5 du code pénal, l'article 521-1 réprime les sévisse et acte de cruauté grave envers les animaux. Ces délits peuvent être réprimé par
2 ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amendes. Certaines personnes ont saisit les tribunaux afin d'obtenir des dommages et intérêt pour compensé la douleur suite à la perte de leurs animaux. La cours de cassation a accepté de compensé le préjudice morale. Le 5 juin 1991, au cour d'un divorce, il été question de l'attribution du chien et en définitive, la cour d'appel de paris est venue rappelé que la question de l'attribution d'un animal est une question de droit de la propriété. En droit Français, il est impossible de léguer ses biens à un animal car il n'est pas doté de