Deontolgie
Dans notre cas , la patiente affronte une nouvelle ‘’dévastatrice’’ a savoir l’amputation de sa jambe ceci traduit son besoin de s’accommoder a une nouvelle apparence physique avec un membre en moins, Prenant en considération son âge et son état physique, il est tout a fait compréhensible de savoir que la patiente refuse un tel changement et par conséquent le traitement lui-même. Par ailleurs en apprenant qu’elle va se retrouver avec une jambe amputée la patiente considère l’intervention comme un futur handicap et préfère donc la garder malade même si ceci va lui couter sa vie, dire même qu’elle voudra finir sa vie (vu son âge avance) en être entier qu’avec un tel handicap en contre partie de quelques mois en plus.
Prenant en considération tous les cas de figures, le médecin a l aide de l‘équipe soignante doivent faire preuve d’écoute et de compréhension. Il est évident que le consentement du patient est obligatoire afin de pouvoir intervenir, ce dernier doit être libre et bien éclairé. De même le médecin se doit d’expliquer la situation et la gravité de la maladie à la personne concernée en lui présentant une information complète et loyale ainsi que les soins qu’il lui faut et leur nécessité vitale. Le consentement du patient fait de lui un partenaire a part entière dans la décision. L’obligation de laisser le choix à la patiente représente le principe même de l’autonomie, lequel principe nous condamne à accepter le choix final de la patiente même s’il peut paraitre irrationnel ceci bien sur en continuant à proposer des soins qui assureront le confort et le bien être de la patiente. Ce qui met le médecin dans un vrai dilemme entre deux obligations contradictoires qui sont d’une part la protection de la santé et de la vie de la patiente et d’autre part le respect de sa volonté qui est dans ce cas le refus total de l’intervention. D’un autre coté et en se basant sur le principe de la bienfaisance et de la bienveillance qui est le principe