1. Descartes exprime dans ce texte son désir de «vaquer seulement à la recherche de la vérité». Il entreprend pour y parvenir, de faire exactement le contraire. C’est-à-dire, que tout ce qui représente chez lui un moindre doute ou ambigüité est classé comme faux pour y déceler les informations qui sont véridiques hors de tous doutes. Il supposait que nos sens nous trompent et que rien n’est comme nos sens veulent bien nous le montrer. De plus, il imaginait que tout son savoir n’était que mensonge. Il voulait penser que tout était faux. Il cherche alors à distinguer le vrai du faux.

2. «Le premier principe de la philosophie» dont arrive Descartes dans ce texte est je pense, donc je suis. Selon Descartes, s’il pense, cela veut dire qu’il existe. Pour se faire, l’homme n’a pas besoin d’être rattaché à un lieu ou à aucune autre chose matérielle. Il ajoute qu’il possède une âme et que celle-ci est distincte du corps.

3. A) Selon Descartes, sa définition de l’être humain est formulé dans le texte comme suivant : « je connus de là que j’étais une substance dont tout l’essence ou la nature n’est que de penser, et qui, pour être, n’a besoin d’aucun lieu, ni ne dépend d’aucune chose matérielle.»

B) La définition de l’homme de Descartes peut être divisée en trois partie;

- «j’étais une substance»
- «toute l’essence ou la nature n’est que de penser»
- «et qui pour être, n’a besoin d’aucun lieu, ni ne dépend d’aucune chose matérielle»

J’aborderai alors mon accord à propos de cette définition en me basant, distinctement, sur ces trois parties.

Premièrement, Descartes cite qu’il est une substance. Selon le sens du mot «substance», sa définition selon le texte va comme suit : «réalité qui existe en soi-même et se conçoit indépendamment de tout autre.» J’estime personnellement que cette première partie de définition est adéquate, car il faut comprendre par le sens du terme «substance» que l’homme est indépendant de tout autre homme. Bref, en aucun cas, il en