dicerction
Les sociétés d’aujourd’hui selon plusieurs sont à leur apogée. L’homme a une liberté d’action qui, pour une majorité de la population, est phénoménale. Liberté d’expression, liberté de choix du conjoint, etc. Cependant, l’être humain qui vit dans l’environnement capitaliste est stéréotypé. Un humain libre est perçu dans notre société comme une personne dotée d’argent, d’éducation, de beauté, de santé, de notoriété et de pouvoir. Contrairement à cela, l’homme non libre est malade, marié, pauvre ou emprisonné. Il y a donc lieu de s’interroger à ce qu’est la vraie définition d’un homme libre : la liberté est-elle une qualité innée, le produit d’une recherche individuelle ou sociale ou tout simplement une illusion? Je crois fermement que l’homme libre ne répond à aucun de ces stéréotypes, mais bien que la liberté est une qualité naturelle de l’humain. Pour défendre cette thèse, je mentionnerai l’auteur et penseur Jean-Jacques Rousseau dont j’utiliserai les principes. L’objectif de ce texte est de mettre au clair la position affirmée plus haut concernant l’être humain et la liberté.

Développement
Premièrement, ce que j’entends par « liberté » est le fait d’agir ou de penser selon sa propre volonté sans être restreint par le pouvoir des autres. J’affirme que la liberté est une qualité naturelle qui ne peut être retrouvée dans les biens matériels, car l’individu était libre bien avant que la société elle-même existe. J’appuie ma thèse sur la philosophie de la liberté de Jean-Jacques Rousseau (1712-1778). D’après lui, la liberté est un pouvoir de choix. Du fait que l’être humain a la faculté de se transformer lui-même, il s’agit donc d’une disposition naturelle qui n’est pas partagée avec l’animal ou toute autre forme de vie sur terre. Rousseau déclare que l’animal ne possède pas le pouvoir de choix. Comme dans l’enfance, à l’origine, les hommes ont peu de besoins alors qu’ils vivent dans un milieu naturel qui leur fournit une nourriture suffisante. À