desole
Ton article laisse entendre que le film occulte les difficultés qui ont été rencontrées à la fin de l’Apartheid? Il ne faut peut-être pas croire le spectateur aussi na que tu ne le fs… Ni croire l’approche du film aussi manichéenne que tu ne l’as perçue! Encore une fois ce n’était pas le sujet du film!
Pour un film du genre je n’ai pas non plus trouvé qu’il s’onnait à une rnhie de bons seents: de la profusion de joie à la fin? Le sport est l’opium du peuple: Qui n’a pas bondi dans les bras de son voisin inconnu le soir de la coupe du Monde en 1998?
Justement, le film m’a plu pour la note potive qu’il laisse en tête quand on qute la salle, en me rant qu’il y a des évènements qui rapprochent et réunissent. C’est aussi le rôle du cinéma, sus aux