Deux resumes et le ton humoristique dans l'assasin habite au 21
2. Sept victimes en deux mois et demi - sept crânes fracassés. Et l'assassin a signé tous ses meurtres en abandonnant un bristol sur les lieux : il s'appelle
Smith... La police londonienne est sur les dents, et les milliers de Smith de la capitale connaissent des moments difficiles.
Jusqu'au jour où une piste fortuite conduit le Yard du côté de Russel Square.
C'est là qu'habiterait l'assassin, au 21. Mais lequel de tous les hurluberlus - plus étranges et plus pittoresques les uns que les autres - qui peuplent la pension Victoria pourrait bien être Mr. Smith ?
Véritable chef-d’œuvre policier, l'Assassin habite au 21 inspirera Henri-Georges Clouzot, dont le film reste dans toutes les mémoires.
Procédés utilisés (ton humoristique) : Jeux de mots, de sonorités, répétitions, énumérations, comparaisons amusantes, noms inventés ou déformés, exagérations, propos absurdes, familiers, antiphrases, oppositions…
SA Steeman : l se révèle d'abord dans plusieurs dizaines de bandes dessinées avant 1920, non publiées.
En 1924, il publie à l'âge de 16 ans Éphémères, un recueil de contes dont plusieurs étaient déjà parus dans La Nation belge. Il publie un recueil de nouvelles, Histoires belges, en 1926, puis ses deux premiers romans : Un roman pour jeune fille (1927) et Les Amants puérils (1928).
Il travaille comme journaliste à La Nation belge entre