CHOUBI à BEDEL, à Bragrabroute Je suis en région Parisienne depuis trois mois maintenant et je suis impatient de renter vous raconter les plus grands détails de ce que j’ai vécu. Lorsque l’on compare notre planète à la leur, on préfère nettement rester chez nous. Nous sommes joviale et tous solidaire. On vit au jour le jour, chaque jour est notre dernier. On n’a pas besoin de se préoccuper de ce que va nous donner notre voisin puisque l’on sait qu’il nous donnera sans attendre quelque chose en retour. Alors qu’eux sont tous ce qu’il y a de plus méprisant. Ils sont froid et sans cœur peu de personne sont là pour aider leur prochain. Mais ce qu’il y a de plus déplaisant chez eux c’est qu’ils ne voient que par des feuilles et des pièces en métal avec inscrit des chiffres. Tout ce papier leur est limité puisque chacun ne peut pas le fabriquer. Il semble qu’ils échangent ces feuilles contre des biens mais ils se plaignent à longueur de temps de ne pas en avoir assez ou que ces biens leur coutent trop de feuilles. Pourtant j’ai pu noter que cela ne les empêche pas d’échanger des feuilles contre un simple objet qui leur permet de communiquer qu’il achète simplement par plaisir. Ils crient aussi au scandale à longueur de temps : quand c’est trop cher ils se plaignent, quand c’est presque donné c’est forcement de l’arnaque. Ils ne voient que le matériel et le bien de chacun, quand quelqu’un meure de faim peu sont là pour le nourrir, quand certains sont mal loger d’après les autres cette personne ne peut s’en prendre qu’a elle-même pour le peu de papier qu’elle possède et qu’elle se peine à