2) Dans ses trois scènes les trois auteurs, montrent le caractère des personnages a travers la nourriture qu’ils mangent ou qu’il commande.
Dans le texte de Molière, on peut voir que Dom Juan demande son souper « Vite mon souper » mais il le demande comme si il était pressé par le temps ou autre chose, cela montre que Dom juan est un homme pressé et qui n’a pas de temps. Mais on peut aussi voir qu’il peut être généreux comme Molière le montre à travers cette citation, adresser à Sganarelle « Allons, mets-toi là, et mange ». Il invite Sganarelle à se joindre à lui pour souper. [Il faut refaire la phrase, elle n’est pas juste]
Le texte Labiche met en scène des personnages curieux, qui veulent goûter à tous les plats proposé par le serveur, Benjamin. Blanche et Leonida sont enthousiaste, il réponde rapidement à la demande du serveur quant-il propose un plat, « Blanche, vivement – Oh : oui, du melon. ». Champbourcy, lui parait plus réserver moins sur la qualité et sur la nourriture mais sur le montant des plats, il est donc plus terre à terre, c’est question se base plus sur le prix « Attendez ! Voyons le prix… » [Avare non ?] . Collaban parait plus gourmet dans car il connait déjà les composants des plats proposé par le serveur « Il y a des truffes là-dedans … » ou quand il dit « … pas de charcuterie ».
Dans l’extrait de Beckett, on peut voir qu’Estragon et Vladimir du fait de leur condition sont deux personnages qui ne paraissent pas très exigeant et qui vivent avec leur moyen [modeste]. Quant Estragon demande à Vladimir s’il a encore quelque chose à manger et que Vladimir lui dit qu’il a le choix entre la carotte et un navet, Estragon ne demande pas s’il n’a pas autre chose que c’est deux légumes c’est l’absurdité du théâtre de Beckett. C’est deux personnages sont des gens sans trop d’exigence vis-à-vis de leur condition, des gens plutôt résignés « Vladimir – Elle est bonne ta carotte ?
Estragon – Elle est sucrée »
Dans ces trois extraits, nous