En mer Contes de la bécasse :
En mer
1er partie :
1. L’indication spatiales « Boulogne-Sur-Mer » (l.3 page 141) et l’indication temporelles 22 janvier
(l.3 page 141) permettes d’authentifier le récit.
2eme partie
1. Les formes verbales qui permettent de personnifier le chalutier sont : « ventre rond (l.13 page
142) ; « Il travaille la mer, infatigable » (l.16 p.142) ; « gaillard » (l.17 p.143).
L’effet de cette personnification rend humain le chalutier.
2. L’accident est survenu dut à la tempête qui rendit le bateau difficilement contrôlable. Bloquant le bras de Javel Cadet dans l’amarre.
3. Dans ce passage, la rapidité de l’action est rendu par les mots : « Tous accoururent » (l.8 page
144) ; « ils se jetèrent sur la corde (l.9 page 144) ; « Faut couper » (.11 page 144).
4. lofer : « Sur un voilier, lofer — plus rarement loffer — c'est manœuvrer le navire de manière à rapprocher le voilier de l'axe du vent. »
5. Les mots qui accentuent l’aspect horrible de la plaie sont : « une bouillie de chair dont le sang jaillissaient flots qu’ont eu dit poussé par une pompe » (l.5-6 page 145) ; « L’hémorragie faisait une mare » (l.9 page 145) ; « les os cassés, les muscles seuls retenaient ce morceau de son corps »
(l.21-22 page 145).
6. Les expressions qui expriment la souffrance ressenti par Javel Cadet sont : « Le blessé devint livide, grinça des dents, se tordit un peu, mais il ne cria pas (dernière ligne page 146 et première ligne page 147).
7. Javel aîné ne veut pas couper l’amarre car elle vaut beaucoup d’argent (quinze cents francs).
8. Les hommes veulent jeter le bras détaché à la mer car la putréfaction se déclare dessus et que les marins craignent les maladies.
9. Les mots caractéristiques populaires du récit sont : « J’veux point » (l.29 page 147) ;
« J’pourrions t’y point l’mettre dans la saumure » (l.4-5 page 148).
Maupassant à reprit ces expressions pour nous faire ressentir le parler des marins de cette époque. 10. « J’pourrions t’y point l’mettre dans la