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[rappel de la pbtiq] Tout au long du texte, Dumas construit le personnage de Milady pour souligner son évolution. [rappel 1ère partie] Dans un premier temps, le narrateur dresse le portrait physique et moral de son personnage. Pour cela, il décrit d'abord une femme en colère, qui veut se venger de son emprisonnement. [1er §, 1er arg.] En effet, Milady est avant tout animalisée à travers deux éléments de son portrait physique. [citation + commentaire] « les yeux ardents et fixes » connotent un animal dangereux, un prédateur qui surveille sa proie tandis que les « rugissements sourds » la rapprochent d'un félin féroce.
[2ème parag ; 2ème arg.] De même, le portrait physique est lié à des comparaisons et métaphores avec une nature déchaînée. Elle est assimilée à une « houle qui monte, gronde, mugit et vient se briser ». [commentaire] A travers cette gradation, le narrateur montre une Milady qui est submergée par la « haine ». De plus, la « colère » est qualifiée par l'épithète « orageuse » qui désigne une nouvelle fois le caractère puissant de la « rage » du personnage.
[3 eme §;3ème arg.] Enfin, le portrait physique est complété par un portrait moral qui fait de Milady un personnage lié au mal. Alexandre Dumas évoque ses réactions « quelques convulsions de rage », « frémissement nerveux », [commentaire] Milady ressemble alors à quelqu'un de possédé. Ensuite, elle est comparée à « un serpent fatigué qui se repose ».[commentaire] Dumas utilise cette comparaison pour décrire Milady de façon péjorative puisque le serpent est un des symbôles du mal.
Le narrateur présente un personnage complètement dévolue au mal, mais étant emprisonnée, la vengeance n'est pas envisageable.
[rappel 2eme partie] Dans un second temps, l'auteur décrit la situation complexe de son personnage.[1er § 1er arg] Pour cela, Dumas crée un personnage enfermé dans une prison. [commentaire] Le narrateur utilise le champ lexical de la prison « prisonnier », « barreaux », «