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375 mots 2 pages
Marqués par le traumatisme de la Seconde Guerre mondiale, les écrivains de l’immédiat après-guerre ont remis en question les genres traditionnels; la modernité littéraire se définit en effet, dans la seconde moitié du XXe siècle, par la critique des modèles littéraires les plus répandus, au premier rang desquels le roman du XIXe siècle.
Écrivains engagés durant SGM, dénoncer occupation, Shoah... Ceci les marque : on les retrouve dans certains nouveaux romans comme La Route des Flandres de Claude Simon (1960), qui raconte la débâcle de l’armée française.
Nouveau roman montre aussi la société qui devient de consommation, sui se matérialise.
Malgré eux, les auteurs du nouveau roman sont devenus des objets médiatiques.
Même éditeur : Jérôme Lindon, le directeur des Éditions de Minuit
Ils ont tous en commun de remettre en cause les procédés du roman traditionnel, mais n'ont pas conscience d'appartenir à une nouvelle école : ce «groupe» est crée par les médias.
Le principe du nouveau roman est expliqué par les membres eux mêmes dans des manifestes et essais comme Pour un nouveau roman de Robbe-Grillet.
Principes fondamentaux :
Rejet du personnage; l’histoire; l’engagement, la forme, le contenu, les principes fondateurs du roman balzacien, l’intrigue traditionnelle. L’action est souvent limitée à des événements apparemment sans importance, et la temporalité est généralement disloquée, sans souci d’un ordre chronologique. Le personnage est dénué de toute apparence physique, de toute consistance psychologique. Il arrive même qu’il n’ait plus qu’une initiale pour patronyme. L’illusion de réalité sur laquelle se fonde la description est elle aussi critiquée.
La focalisation et la narration reçoivent une attention particulière; le Nouveau Roman privilégie le point de vue externe pour limiter aux apparences ou interne qui traduit le courant de conscience.
Thèmes Nouveau Roman paraissent souvent banals, vie quotidienne,

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