Diagnostic
LES CHOCOS QUI ROULENT
I. Introduction
Dans le cadre de notre projet dans le cours de direction marketing, dont le but est de réaliser un rapport final en marketing un produit de notre choix. Ce choix s’est porté sur un kit à réaliser soi-même ses chocolats de type bonbon-chocolat. Pour cela, il convient d’étudier de nombreux facteurs afin de pouvoir ou non intégrer ce produit sur le marché.
II. Introduction du secteur
En France, le secteur de la chocolaterie-confiserie comprend deux branches d’activité distinctes : la chocolaterie (composée des tablettes, bonbons de chocolat, barres, cacao en poudre et pâtes à tartiner) et la confiserie de sucre (composée des bonbons et sucettes, des chewing-gum, fruits confits et marrons glacés, puis des petites confiseries de poche et des spécialités régionales et traditionnelles).
L’industrie de la chocolaterie-confiserie compte près de 180 établissements de production répartis sur toute la France, avec une forte implantation sur le bassin parisien. Elle emploie plus de 17 000 personnes (dont 66% dans le secteur de la chocolaterie). Le chiffre d’affaire 2009 est de l’ordre 3,66 Mds€ et plus de 70% sont réalisés par l’industrie de la chocolaterie. En 2010, le chiffre d’affaires du marché du chocolat est évalué à 2,4 milliards d’euros en GMS.
Tendances du marché français
La crise économique ne s’est pas traduite en 2009 par une forte réduction de la consommation de produits agroalimentaires et notamment de produits sucrés, la part de l’alimentaire dans le budget des français s’étant maintenue.
Il y a eu tout de même un retour à la croissance dû en grande partie aux stratégies offensives des industriels pour relancer les ventes, et qui touche tous les segments de marché : tablettes, confiserie, etc. Le développement des produits à bas prix, les stratégies de différenciation et les innovations restent le crédo des marques pour faire face à l’essor des