Diderot
Il né à Langres, en 1713. Il perd sa foi après étudier en Paris. Il vie difficilement de l’écriture. Cependant à 32 ans il devient l’âme de l’entreprise de l’Encyclopédie. Il arrive à convaincre d’Alembert pour collaborer et se réserve certains articles pour le projet. En 1772 il est invité à Saint-Pétersbourg par la tsarine Catherine II, à laquelle il vend sa bibliothèque pour avoir de l’argent pour sa fille. Il la considère comme une « despote éclairé ». Son activité devient moins intense à partir de 1778 et il meurt en 1784 à Paris.
Il possède un style vif et enthousiaste. Dans ses œuvres il réfléchit sur le rapport des arts.
Comme philosophe, il passe du déisme à l’athéisme et ensuite au matérialisme. Il pense que l’homme est responsable de sa propre vie. Il dit, comme Rousseau, que l’homme est bon en soi même. La vertu est un mouvement naturel, fait d’altruisme et sympathie. Il croit au progrès, comme Voltaire. La philosophie attendra les découvertes des sciences et fera des conclusions.
Lettre sur les aveugles : où il explique sa théorie matérialiste à partir d’un fait divers.
Le Rêve D’Alembert : il veut prouver qu’il n’existe qu’une seule substance : la matière.
Comme dramaturge, il veut remplacer la tragédie classique par la nouvelle forme de théâtre, la tragédie domestique et bourgeoise. Les personnages doivent être proches au public, donner plus de détails, que le théâtre donne une morale et qu’il remplit le rôle que la religion ne joue plus. Il préfère la prose aux vers, car elle est plus naturelle et meilleur pour les sujets qu’il choisit, puisqu’elle apporte plus d’importance au jeu des acteurs.
Le Fils Naturel : drame sentimental, moral et social.
Le père de famille
Comme conteur, il fait plusieurs romans, lesquels manquent souvent d’un fil conducteur. Cependant, il sait comment fixer et décrire l’aspect extérieur des objets. De plus, il dote ses romans d’une grande vitalité et il a le don de la vie, qu’il imprime dans les livres