Différence de courant de pensée entre platon et aristote
Les données recueillit pour le gaz A sont : une pression de 100,4kPa, une température de 295,5ºK, un volume molaire de 24,47L et une masse molaire de 36,84g avec lesquelles nous avons pu déterminer le gaz dont il s’agissait. Nous avons aussi déterminé que pour le gaz B les données étaient les suivantes : une pression 1001,4kPa, une température de 295,5ºK, un volume molaire de 24,47L et une masse molaire de 26,32g. Grâce à la masse molaire de ces deux gaz, nous avons déterminé que le gaz A était du CO2 puisque que sa masse molaire de 36,84g ce rapprochait beaucoup de celle du CO2 (44,01g/mol). Pour le gaz B, nous avons déterminé que c’était de l’O2 puisque sa masse molaire de 26,32M était comparable à celle de l’O2 (32 g/mol). Même si les masse molaire sont considérablement éloigné, ce qui peut être expliqué par une erreur d’ajustement de la balance ou encore la seringue témoin pouvait ne pas être complètement sous-vide ou encore elle pourrait être expliqué par une erreur de calcul de la masse molaire ou encore, il est très probable que nous ayons mit trop de gaz dans le seringue (dépasser les 140mL requit pour l’expérience), nous en sommes arrivé à cette conclusion puisque les autres masses molaire des gaz possible sont trop éloigné de nos résultats : SO2 (64,06M) et NH4 (16,05g/mol). La constante théorique de 8,314 est arrivé de nos résultats expérimentaux. La technique utilisée était très peu précise à cause de la quantité de gaz dans la seringue qui pouvait varier facilement entre 139,8mL et 140,2mL et les résultats ne sont pas très fiables.
Conclusion
En conclusion, le gaz A peut être identifié par du CO2 et le B par du O2. Pour arriver à cette conclusion, nous avons calculé la masse molaire de ces deux gaz. Nous sommes plus ou moins certain de nos résultats puisque la méthode utilisé n’était pas très