Discours candide devant les planteurs du surinam (avec quelques fautes à revoir )
Vous croyez que le feu ne sert qu’à brûler, que la femme ne sert qu’à procréer et que le nègre ne sert qu’à travailler ; mais voyer vous, le feu peut aussi nous illuminer ; la femme peut-être aimée, moi-même j’aime et je n’aurais jamais cru que Mademoiselle Cunégonde m’aurait temps manquer ; et aussi le nègre peut être humain, avoir un cœur, des sentiments et une âme. Vous jugez par la différence physique mais nous sommes tous pareils, anatomiquement constitués et tous aussi humains que les autres.
Je me suis sentit humilié de voir un frère sur le sol, qu’à moitié complet. . J’avais honte parce que même furieux contre ce viol physique et moral, je ne pu rien faire. Je l’écoutais et j’ai vu en lui des propos déjà ancrés dans son esprit qui avaient détruit ses propres idées. Mais enfin je me suis dit que rien était perdu, car enfin il m’a répliqué un concept bouleversant. Il m’a dit que, étant tous fils d’Adam et Ève, nous somme tous cousins issus de germains. »
A cette parole, l’un des planteurs sortit furieux de la salle, sans doute se sentait-il vexé. Il jeta un regard dédaigneux à Candide puis fit claquer la porte. Ce dernier sourit et continua d’un ton plus familier.
« Bien, Messieurs, je me suis peut-être laissé emporté mais je vous prie de m’écouter car la situation devient cruciale.
Je connaît un pays où la bonté dépasse la richesse et où