discussion réfutative
1) >
2) .
3a) -
4a) – Socrate montre qu’on ne fait qu’exemplifier le concept de vertu. Ménon ne fait que donner des exemples de vertu pour les femmes, les hommes les esclaves et les enfants, mais il ne donne pas une définition générale de la vertu. Socrate compare la définition de la vertu avec une définition des abeilles. Il prouve que Ménon a tord en montrant qu’il y a plusieurs types d’abeilles mais qu’il existe une définition général pour une seule abeille, et cela doit être le même cas que la vertu.
3b) Avec justice.
4b) Socrate réfute l’explication de Ménon en lui montrant que sa définition de la vertu est circulaire. En effet, après que Ménon ait donné sa définition de la vertu, Socrate lui dit qu’il est entrain de donner une des définitions, mais non la définition générale, tout come au début. Ménon dit que la vertu est la capacité de commander aux hommes avec justice, mais Socrate réfute cette définition en lui donnant un exemple sur la rondeur. En fait il dit que c’est une figure, mais non pas qu’elle est dans l’absolu et sans précision, la figure. Donc il fait un lien avec cela et la vertu, car il est vrai que la justice fait partie de la vertu, mais n’est pas la vertu en tant que tel.
3c1)
4c1) Socrate réfute la réponse de Ménon en lui disant que sa définition de la vertu est absurde. Il lui affirme le fait qu’ils y a des hommes qui désirent le mal et Ménon semblait d’accord avec. Ensuite il le questionne au sujet de si les hommes désirent le mal même en sachant que le mal est mal et Ménon lui répond que oui. Socrate, alors, trouve cela absurde, puisque les hommes sont supposés désirer le bien. Donc il explique à Ménon que si les hommes se font du mal, ils vont savoir que ce mal leur nuira, car il les rendra misérable. Il lui affirme que puisque les hommes ne veulent pas être misérables, alors ce que dit Ménon est absurde. De plus, il rajoute que ce n’est pas par le fait de