La flexibilité du travail est la capacité pour une entreprise de jouer uniquement sur le facteur travail pour adapter son niveau de production à la variabilité de la demande qui s'adresse à elle, tout cela facilement et rapidement. De nos jours, le chômage touche 2 millions de personnes, soit 8,6% de la population. Est ce que la flexibilité du travail serait un moyen efficace de réduire le chômage ?
Il faut d'abord étudier les effets positifs de la flexibilité du travail sur le chômage pour aborder dans un deuxième temps les limites de la flexibilité.

I/ Effets positifs sur l'emploi
A/ Les effet de cette flexibilité
B/ Des mesures bonnes pour l'emploi

II/ Les limites de la flexibilité du travail
A/ Des résultats a nuancer fortement
B/ Un lien flexibilité - chômage pas forcement mécanique

Pourquoi une telle recherche de flexibilité ? [modifier]
La flexibilité possède des avantages supposés :
La flexibilité du travail et des rémunérations réagit contre la tendance à la transformation des coûts salariaux en coûts fixes indépendants du volume de la production et des résultats de l'entreprise.
Le modèle de gestion de la main d'œuvre qui s'était imposé lors des trente glorieuses était caractérisé par des rigidités structurelles et institutionnelles (mise en place du SMIG en 1950, poids des syndicats, législation du travail contraignante). Le contrat à durée indéterminée (CDI) était la norme.
La croissance du chômage et le renouveau des idées libérales matérialisé par Ronald Reagan aux États-Unis entre 1980 et 1988 et Margaret Thatcher au Royaume-Uni entre 1979 et 1990 ont conduit à remettre en cause ce mode de gestion de la main d'œuvre : il s'agit de donner aux entreprises, par la mise en place de la flexibilité, la possibilité d'améliorer leur compétitivité et leur productivité pour leur permettre d'affronter dans de bonnes conditions la concurrence mondiale de plus en plus rude.
Pour les tenants de la flexibilité, cela doit se traduire par un marché