Diss
Le noir envahit tout
- Au tout début de l'extrait, traces de couleur ("rougeur", 1. 4, "empourprée", 1. 4, "lumineuse", 1. 5).
- Progressivement, victoire du noir ("ténébreux", 1. 6, "L'obscurité", 1. 15, "noir", 1. 16, "opacité", 1. 17) : les sensations visuelles sont alors incertaines ("on ne sait quoi", "vague et insaisissable", "quelque chose de", 1. 22, "inexprimablement", 1. 33.
Les sensations se mêlent et se confondent
Confusion entre ouïe, vue et toucher ("sans aucun froissement de feuille, sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l'été", 1. 6-7) (...)
Plan du commentaire:
Introduction
I) La métamorphose du paysage
II) La misérable enfant
Conclusion
Introduction
I / V.H transforme cette marche dans la foret en une entrée dans un monde terrifiant
1. Un environnement hostile et inconnu
2. Focalisation
II / V.Hugo dépasse l'anecdote pour donner à cet épisode une portée générale.
1. Généralisation du cas individuel de Cosette au rang de vérité générale
2. Les sens possibles dans cette généralisation: Le bien, L'innocence contre le mal.
Conclusion
J'ai réussi à faire mon introduction ,mon 2, tout le II, ainsi qu'à relever des figures de style, le style de vocabulaire employé, comment l'auteur modifie le réel, ... pour le 1 mais je n'arrive pas à le rédiger en expliquant pourquoi il les utilise et à trouver le nom du champ lexical comprenant les mots suivants : Noir, masque de l'ombre, profondeurs, ténébreux, étendues lugubres, obscurité, contraire du jour, éclipse, nuit, opacité fuligineuse, ombre, ténèbres.
Monde hostile : Armés, proies, s'enfuir avec épouvante...
Monde inconnu : Oeil égaré, ne connaissait pas...
Figures de style : plaie lumineuse, nuages noirs comme des pans de fumée, Jupiter se couchait, herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles, ronces se tordaient comme de longs bras...