Disseration
Partie rédactionnelle que a longtemps été celle de la BCE, afin de freiner les tensions inflationnistes, liées à l’intégration des nouveaux pays entrants dans l’Union Européenne....
En effet, la quantité de monnaie en circulation dans l’économie va, en partie, déterminer le niveau général des prix (l’inflation). Trop de monnaie contribue à alimenter une demande de biens et de services, qui peut alors devenir excessive par rapport à l’offre existante, d’où une hausse des prix. Une des causes de l’inflation est donc de nature monétaire. C’est pour cette raison que la Banque centrale européenne, dont le principal objectif est la lutte contre l’inflation, refuse généralement de baisser ses taux d’intérêt. Pour la BCE, un crédit peu cher risque d’entraîner une demande de monnaie importante et donc de peser sur le niveau des prix
B. L’influence du niveau du taux d’intérêt directeur faible sur l’activité et la lutte contre la crise économique
A l’inverse, un crédit moins cher va inciter les clients des banques à emprunter davantage pour consommer et investir, ce qui va accroître la demande adressée aux entreprises et sera donc favorable à la croissance économique. Ainsi, c’est cette politique qui est menée aujourd’hui, pour stimuler l’activité économique de la zone euro, face à la crise générée par les subprime. Ainsi, les crédits distribués par les banques commerciales devraient inciter les entreprises à investir, à embaucher, et les ménages à consommer… et donc permettrait de relancer la croissance afin de sortir de la crise, normalement.
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Conclusion
.[résumé partie 1 :]Les banques centrales assurent le refinancement des banques commerciales, qui ont besoin de satisfaire les demandes de billets de leurs clients et de régler leurs dettes vis-à-vis d’autres banques. Ces opérations de refinancement ont un coût déterminé par le taux d’intérêt directeur, fixé souverainement par les banques