Situation relationnelle aux urgences

J’ai choisi de traiter la situation de Mme L, dame de 64ans hospitalisée pour teint ictérique et météorisme abdominal. Il sera diagnostiqué un syndrome oedémato-ascitique lié à son alcoolisme chronique. Cette patiente possède de lourds antécédents et son état de dégrade rapidement mais elle n’a pas de famille à contacter. Elle est transférée en box de déchoquage afin de la scoper, et de poser un KT fémoral. Je me positionne au niveau de sa tête pour la ventiler au BAVU et c’est là que mon intervention relationnelle a commencé. Centrée sur la communication non verbale, le toucher, le regard, mon intervention a été spontanée.

Tampon du service Signature du Tuteur de stage

I- Analyse
J’ai effectuais mon stage aux urgences médicales du CHU de Clermont-Fd. La situation que j’ai choisie traite d’une patiente de 64 ans hospitalisée la veille au matin pour syndrome oedémato ascitique avec AEG adressée aux urgences par son médecin traitant. La patiente vit à son domicile et bénéficie d’une aide ménagère 3 fois par semaine, elle n’a pas de famille et vit dans la solitude. Le jour de son admission je suis en poste à l’IOA et je m’occupe de son entrée. Mme L est amenée par une ambulance privée, dés son arrivée je l’accueille et remarque qu’elle est très coquette, a le sourire, semble heureuse. Avec le recul je me dis qu’elle était surement heureuse d’être aux urgences car elle s’y sentait entouré et moins seule. Etait-ce le cas ? La prise en charge à l’IOA se doit d’être rapide, au total je n’ai vu la patiente que 5min30sec avant de prendre en charge le patient suivant.
Le lendemain, je suis en poste de 6h à 13h30 en secteur, Mme L est sur mon secteur. Prenant en charge 6 patients, lors de la relève je décide de m’occupé de cette patiente car je l’ai vu la veille et je pense qu’elle me reconnaîtra et de ce fait se sentirai moins « perdue » peu être. Lors de mon 1er tour, je réveille la