Dissert
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L’égalité des sexes, c’est gagné ? Pas si sûr. On serait encore très nombreux (et nombreuses !) à véhiculer malgré nous des idées reçues sur les deux sexes.
Catherine Vidal, neurobiologiste. préjugés sur les différences biologiques entre hommes et femmes ont été balayés. Ce n’est pas le cas les différences entre les sexes viennent d’un déterminisme biologique
Or, le cerveau fabrique sans cesse de nouveaux circuits de neurones en fonction de l’apprentissage et de l’expérience vécue
Ces propriétés de “plasticité cérébrale”, qu’on a découvertes il y a une vingtaine d’années, ont révolutionné nos conceptions du fonctionnement du cerveau
A la naissance, le petit humain n’a pas conscience de son sexe. Mais, très vite, il est capable de distinguer les hommes et les femmes par la voix, les attitudes. Ce n’est qu’à l’âge de 2 ans, à mesure que ses capacités cérébrales se développent, qu’il réalise son appartenance au genre masculin ou féminin. Or, bien vant, son environnement a été sexué au travers de ses vêtements, de ses jouets… On a démontré aussi que les adultes, de façon inconsciente, se comportent différemment en fonction du sexe du bébé : ils ont davantage d’interactions physiques avec les garçons et parlent plus aux filles. Mais tout n’est pas joué pendant l’enfance. A tout âge, la plasticité du cerveau permet d’acquérir de nouveaux talents, de choisir différents itinéraires de vie.
Connaissances :
Exemples de préjugés que l’on a : - savoir lire une carte routière = Homme * Bavarde et habiles des mains = Femme.
Cela est semblablement dû aux gènes.
Ne pas aller à l’encontre de ses préjugés, de son destin car on y arrivera pas car l’homme et la femme ont des limites, notre cerveau a des limites, on doit donc entrer dans le moule.
Hommes et femmes n’ont pas la même provenance.
Retour de l’ordre moral d’auparavant.
Hommes et femmes