dissert
Construction de la connaissance :
Expérience :
Le regard que l’on porte nous renvoie à nous même de la place que l’on occupe.
Est-ce que nous tous ensemble pouvons décrire la réalité de la pièce ?
Autant de réalité qu’il a d’individu.
En effet, on fait le tri, il n’est pas innocent car notre façon de regarder le monde nous renvoie à nous même. On extrait des éléments qui nous paraissent significatifs. Il y a des choses qui nous paraissent banales, naturelles.
On n’a pas le même angle de vue. (L’image ne permet pas de penser mais a une influence sur notre façon de penser).
On note les choses par envie, choix, codes, signes, pratiques. (Le code pour qu’il soit valeur de signe il a fallu l’apprendre).
L’objectivité n’existe pas.
Levy STRAUSS «Le voyage ne m’enseigne que de moi-même »
Au moment où je mets les pieds sur un territoire étranger, je suis l’hôte de l’autre :
♣ Quand je vais dans un pays étranger je ne découvre pas là où je vais mais là d’où je viens.
Le temps ne peut pas se penser sans l’espace.
Le temps et l’espace nous ouvre la porte à la dynamique.
L’expérience du monde sensible comme un acte du sujet.
La subjectivité :
Ex : Un enfant autiste n’est plus un malade, il est un handicapé.
Reconnaissance du handicap sous pression des parents. Reconnu scientifiquement (génome).
La perception :
♦ L’acte perceptif d’un sujet
Le regard que l’on porte va être connoté par nos valeurs objectives.
♦Un acte d’abstraction :
Ce qui nous semble évident, normal, toujours selon nous, sont mis de côté. Ca ne l’est peut être pas pour les autres.
On va distinguer les choses dans l’observation, le monde ne va pas de soi.
Même la façon de regarder le monde nous montre que nous sommes des êtres limités. On est dans quelque chose du choix. L’intervention d’un éprouvé qui viendrait à déterminer une (in-tension) d’intervention.
Abstraire :
Extraire et percevoir :
♦ Extraire :
Choisir ce