Dissert
L’homme parle, et il est conscient de cette action, qui lui soit à sa disposition seul.
Louis Aragon l’assure en disant : « la parole n’était pas donnée à l’homme, mais il l’a prise ».Dans quel mesure l’acquisition où la récupération de la parole révèle-t-elle la revendication légitime et nécessaire pour laquelle n’hésite pas à se mobiliser ? Afin d’analyser ces questions, on utilise les œuvres du programme Phèdre de Platon et « Les fausses confidences » de Marivaux. Certes, l’homme s’est battu pour « prendre » la parole, il n’a pas attendu qu’elle lui soit offerte. Cependant, l’homme ne tarde pas à la perdre constamment. Tout compte fait, l’homme poursuivra sa quête aussi longtemps qu’il poursuivra sa raison d’être.
Dans cette partie, on va discuter la première thèse qui soit que l’homme
L’homme s’est démené pour acquérir la parole quand elle n’était pas à sa portée.
Historiquement parlant, l’habilité de prononcer et produire des sons articules n’était pas innée puisque à pat des cas des miracles, le nouveau née ne peut pas parler, mais grâce a son évolution biologique qui lui a permit de formuler des phrases. Autrement dit, ce don est naturel chez l’homme. Or c’est sa volonté de s’exprimer ; au commencement, c’était pour transmettre ses douleurs et ses angoisses, mais cela a développé avec le temps en extériorisant ses sentiments, ses idées; et d’entamer des relations avec l’autrui et donc prouver l’existence de soi dans la société en générale, qui l’a poussé à apprendre. Sinon, les simiens étant le mammifère qui a autant de compatibilité des organes par rapport à l’homme aurait pu « parler ».
De point de vue social, l’homme prend la parole avec l’étranger même s’il ne lui était pas « donner », c’est à dire que la verbalisation des idées est une nécessité de cohabiter ave l’autre. D’une part, de peur d’ennuie ou