Dissertation/
Emma BUISSON
Française

Ce texte est issu d’une conférence donnée par Peter-Hans Kolvenbach, relatant les avancements, les fondements et racines de la justice et de l’équité dans le monde Jésuite.
En effet, les aspérités de la compagnie ont bien changé depuis sa création en 1540.
Déjà en 1966, le Père Arrupe appelait à repenser les buts de la mission des compagnons, à baser leurs actions en faveurs d’une justice et d’une équité sociale.
Pour mieux comprendre comment une telle réhabilitation du but de la compagnie jésuite a pu fonctionner, nous nous intéresseront aux résultats dans le monde actuel, résultant des établissements jésuites mais aussi des étudiants eux même et de leurs professeurs .

Nous essaierons de comprendre comment la justice peux elle émaner des composants suivants : établissement, étudiants et professeurs, et quels sont les résultats visibles aujourd’hui.

Les établissements d’enseignements jésuites.

Ces derniers forment une part importante dans la mission de justice des compagnons. En effet la justice veut avant tout une égalité. Ces écoles furent fondés pour aider les populations émigrés, pauvres et marginalisés à accéder à la connaissance. Il est indéniable que le monde jésuite parvient à comprendre de manière exact le monde dans lequel il évolu et surtout la nécessité de l’accès à la connaissance et au savoir. C’est pour eux là que réside l’égalité : le pouvoir de donner de manière équitable le savoir dispenser par leurs établissements.

Aujourd’hui, les exemples sont nombreux de la réussite de ses établissements. La sillicon valley, aujourd’hui carrefour mondial des technologies de pointes est fondée sur l’un des établissements jésuites.
La silicon valley génère aujourd’hui un PIB équivalent à celui du Chili.
Il en est de même pour Cordoba, première université d’Argentine fondée en 1621 par les jésuites dont les terres leur ont été confié par le Pape
.
Selon des Jésuites, c’est cet accès à la connaissance qui engendrera