dissertation copier 2
Il semblerait que l'homme soit un animal bien différent de ses congénères animaux, qu'ils soient oiseaux, amphibiens, reptiles, mammifères etc. Et cette différence va bien au delà de l'apparence physique, car au fond tous les êtres vivants sont des animaux mais en dehors de leur propre espèceq, ils ne se ressemblent pas.
On place communément l'homme au sommet hiérarchique de règne animal, tant son emprise sur le monde est importante et ses caractéristiques psychologiques complexes. Il nous paraît dérangeant de considérer notre espèce comme étant sur le même piédestal que les autres animaux. En cela l'homme marque de lui-même une différenciation « homme-animal ».
Cependant, il est difficile de nier que l'humain soit un animal, et il serait antinomique
Cependant, il est difficile de nier que l'humain soit un animal, et il serait antinomique de ne pas le considérer comme tel. Ce nom commun à il faut le souligner, pour étymologie latine « doué de vie ». Cela sous-entend donc une certaine proximité, mais jusqu'à quel point ? N'y a-t-il pas dans nos comportements un semblant d'animalité ? Ou celui-ci est-il volontairement masqué, effacé, afin de mieux marquer encore une différenciation ? Si l’qhomme peut être qualifié d'animal, en est-il un comme les autres ?
I- L’HOMME N’EST PAS UN ANIMAL COMME LES AUTRES
A) La culture une seconde nature
1° propre à l’homme, la nature est innée, la culture est acquise
2° culture et nature : deux composantes humaines complémentaires
3° sans sédimentation culture : retour à l'état animal
B) l’homme n’a pas d'instinct
1° il est remplacé par la pensée, l'intelligence et la raison
2° cette absence révèle une diversité des comportements humains
3° le manque d'instinct : palié par la discipline
C) éducation et apprentissage
1° sans guide instinctif : nécessité d'être éduqué
2° l'éducation : c'est d'abord la discipline
3° apprendre à obéir : c'est se contrôler
transition : par le biais d'une intervention humaine certains