Dissertation de cinéma
Communément, en sortant d’une salle de cinéma, on se précipite vers notre entourage pour leur avouer à quel point nous avons adorer ou détester le dernier film d’un grand réalisateur. C’est notre opinion personnelle et totalement subjective que nous exprimons au premier abord, puis les cinéphiles creusent plus profondément pour montrer toute l’esthétique, le montage ingénieux ou non qui rend le film si intéressant. On ne parle plus alors d’avis personnel, puisque cet avis porte sur des preuves concrètes, des éléments d’études techniques et conventionnelle, qui permettent de nous détacher de ce problème qu’est la subjectivité. En effet, elle est un problème quand il s’agit de critiquer positivement ou non un film, car le critique ou nous-mêmes, protégé ou non par la profession, devons voir et interprété un film pour vraiment y voir son intérêt ou au contraire ses points faibles. Il serait alors intéressant d’étudier la manière dont le discours critique parvient à ce détacher de l’opinion « de surface » d’un film. Tout d’abord, il suffirait tout bonnement de le comparer à d’autre film du même réalisateur ou du même genre cinématographique mais on risquerait de passer à coté de l’essentiel de l’intrigue, nous verrons alors qu’il serait préférable de le voir sous un angle plus recherché par des éléments concrets imposé par la profession.
On peut penser dans un premier temps, que pour résoudre le problème de l’aporie, nous devons et les critiques, eux-mêmes doivent, le comparait à d’autres films du réalisateur, à d’autres films du genre dans lesquels s’ inscrit le film concerné.
En effet, si le réalisateur est reconnu par tous, professionnel ou non, comme très bon dans sa discipline, l’ensemble de ses œuvres, seront donc par déduction excellente