Dissertation ECJS.

5.11.14
1eES1

Dans cet extrait du livre « le deuxième sexe » de 1949 de Simone de Beauvoir, philosophe et romancière parisienne du 20e siècle.
Simone de Beauvoir dénonce la place de la femme dans la société de manière implicite. Le rapport de force entre les hommes et les femmes a-t-il vraiment lieu d’être ? Cette soumission de la femme existe t’elle dans toutes les sociétés ?
Tout d’abord nous aborderons les arguments allant à l’encontre de ce rapport de supériorité puis dans un second lieu nous verrons les arguments allant dans le sens de ce rapport de soumission des femmes aux hommes.
On constate que les hommes ne dominent pas les femmes dans toutes les sociétés. Dans certaines sociétés la valeur des femmes est reconnues comme dans les sociétés matriarcales, des sociétés où les femmes détiennent les mêmes rôles institutionnels que les hommes dans les sociétés patriarcales. Ainsi, en Indonésie, chez les Mimangkabou, donnent le pouvoir familiale aux femmes. La mère transmet à sa fille, uniquement son nom, ses terres, ses biens immobilier et mobiliers, ses titres et bien sûr ses bijoux qui sont la propriété exclusive des femmes.
Si les choses avaient été inverser, que les femmes avaient tous les droits et étaient placer en position de force tandis que les hommes en position de soumission, ces derniers réclameraient leurs droits. C’est pourquoi, elles doivent avoir les mêmes droits et possibilités que les hommes, autant personnellement que professionnellement. C’est d’ailleurs dans ce but la que Dilma
Roussef est devenue présidente du Brésil le 1er Janvier 2011.
L’homme détient une plus grande force physique que la femme.
En effet, la morphologie d’une femme est naturellement moins bien bâties ou moins musclée que celle d’un homme, sauf dans certains cas particuliers. Cela est du à l’absence de testostérone à l’origine du développement des muscles dans le corps de la femme et donc d’une masse graisseuse